Les Carnets

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Sur le seuil de ta porte

 

 

Sur le seuil de ta porte (Pages 11 et 12 du livret original)

 

1er couplet

Aujourd’hui tu m’écris

N’avoir jamais compris

Le motif de notre rupture

Pour mieux te l’expliquer

Je vais recommencer

Le récit de notre aventure

Lorsque je vins chez toi

Pour la première fois

C’est déjà bien loin mais qu’importe

Je me souviens encore

Que je tremblais bien fort

Sur le seuil de ta porte

 

4ème couplet

Un jour je suis venu

Oui sans être attendu

Et j’ai trouvé la porte close

Je te savais bien là

Pourtant tu n’ouvrais pas

Mais j’ai compris l’horrible chose

D’ailleurs comment douter

Des heures je suis resté

Attendant qu’enfin l’autre sorte

Et je t’ai vu, oui toi

L’embrasser comme moi

Sur le seuil de ta porte

 

2ème couplet

Enfin tu m’as ouvert

Mais devant tes grands airs

Je me sentais gauche et timide

Rougissant pour un rien

Tout comme un collégien

J’ai du te paraître stupide

Lorsque tu m’as grisé

De ton premier baiser

Mon émotion fut si forte

Que n’osant rien tenter

Je me suis arrêté

Sur le seuil de ta porte

5ème couplet

Voir mon bonheur crouler

Les rêves s’envoler

Voir ce qu’on aimait disparaître

Vois tu, j’en ai souffert

En mon âme, oh ma chérie

Au point de t’insulter peut être

Mai j’ai dis à quoi bon

Tout est fini pourtant

Maintenant que ma tendresse est morte

Et le cœur tout …

Tristement j’ai pleuré

Sur le seuil de ta porte

 

3ème couplet

Puis ce fut le roman

Cher à tous les amours

Ivre de baisers de caresses

Je t’aimais comme un fou

Souvent à tes genoux

L’amour comme on sait

Lorsque je te quittais

Ton parfum me restait

Tes baisers me servaient d’escorte

Et je partais songeur

Car je laissais mon cœur

Sur le seuil de ta porte

 

6ème couplet

Me voici pour toujours

Tout seul et sans amour

Mais de t’avoir écris cette lettre

Le souvenir brûlant

De nos baisers d’antan

A fait tressaillir tout mon être

Pourquoi lutter en vain

Je sais bien que demain

Je serais lâche mais qu’importe

Je viendrais malgré tout

Me mettre à tes genoux

Sur le seuil de ta porte