Le Savant Tardize

Menu
 
Comédie & scientifique 
de Natalis Anquier

La scène représente un cabinet d ‘affaires, par a gauche une porte ( autres pièces du logement au fond, une porte d ‘entrée, à droite une fenêtre.
Dans l ‘angle de gauche, une table avec un téléphone, des glaces, aux murs squelettes ou autres panneaux scientifiques.
Dans l ‘angle droit la machine, côté public : semblant un standard téléphone avec 2 portes.

Au rideau, le savant est à sa table de travail et écrit ( téléphone )

S: Allô oui, savant Tardize. Vous désirez ?

S: Le cas est sérieux mais j ‘aurai beaucoup à faire aujourd ‘hui .

S: Et vos médecins n ‘y ont rien fait ! comme d ‘habitude quand il n ‘y a plus qu ‘ un espoir : le Savant Tardize.

S: Ecoutez de 4 à 6 heures. Au revoir, monsieur ( il raccroche)

S: ( retéléphone) Allô oui ! savant Tardize vous désirez ?

S: Vous permettez de vous visiter auparavant . 

S: D ‘accord de 4 à 6 heures, au revoir .

S: ( retéléphone) Ah ! la paix je ne pourrais jamais finir ce rapport ( écrivant d ‘une main, repoussant) .. Allô oui ! savant Tardize( il enchaîne) les bactérie dans l ‘alcool ont subi un traitement thérapeutique qui a isolé la glucose du céphalée... ô pardon, permettez monsieur...
quoi.. une dame ! oh excusez moi je suis confus. De 4 à 6 les visites.

S: personnelle... écoutez je rentrerai ½  heures plus tôt spécialement pour vous, êtes vous satisfaite.

S: Alors vous ne pouvez m ‘en dire plus au téléphone. Dommage ! 

S: Je garderai le secret, je vous le promets... au revoir madame ( à lui même ) personnelle, personnelle, une admiratrice de mes travaux, peut être m ‘ aura t - elle vu à l ‘académie  éprouvettes et bistouris, c ‘est la succès, le triomphe !!  
Les femmes à présent . ah ! avec elles on obtient tout, je pense ma place à l ‘académie 
éprouvette et bistouris comme secrétaire, en bonne place .
Voyons un peu ce rapport ( il lit quelques lignes ou l ‘on entend quelques mots scientifiques
( bacilles, acide prussique, ammoniac, sérum, lymprose, etc....
 

Il termine aussi : et maintenant mes chères confrères, j ‘ ai réussis à court analyser le spasme des poux femelle, à l ‘ isoler complètement  et à la détruire, je vous entretiendrais complètement à la prochaine grande séance, de la grande assemblée de grands hommes qui font la grande société l ‘académie éprouvettes et bistouris ( rêvant ) ... Bravo, bravo, savant Tardize, c ‘est épatant , merveilleux, qu ‘elle documentation, c ‘est raffiner : les palmures, la légion d ‘hommes, 
l ‘ académie Française( se passant la main sur le front ) ... oh mais non ! ce n ‘est pas sur le rapport , je croyais déjà entendre mes confrères.
Allons deux heures et demie déjà, aller et retour rue de belle chasse porter mon mémoire sur les cobayes, juste à temps pour mon admiratrice. 
D ‘ ailleurs aujourd ‘hui je ne passerai pas aux belles Japonaise c ‘est plus qu ‘inutile si cette admiratrice... ( se gonflant et se regardant dans la glace) 40 ans, encore un dandy te rappelles tu Tardize, les mémoires à St  Michel, les bals à Bullier, le chat noir .. Allons voyons j ‘ éternise et le temps passe ( appelant ) Justin ! Justin !
S : Mais qu ‘ est - ce qu ‘ il fait donc ? Justin ! Justin !  il dort sans doute ( le téléphone sonne) 
ah non ! pas le temps je m ‘apprête ( il range ses documents dans une serviette) 
Justin arrive en tromblant et semble venir d ‘un long somme, s ‘ étire et saute au téléphone sans voir Tardize.

J : Allô oui, ici 69.100, vous désirez madame ?

J : Vous dites l ‘académie, pas tout à fait madame

S : Encore une admiratrice.

J : ( stupéfait d ‘entendre Tardize) ô pardon 
non, madame, l ‘académie que vous demandez n ‘est pas ici ? au revoir madame je vous laisse à vos ongles et vos crèmes épilatoires.

S : Qu ‘ est ce ?

J : Une dame qui demande l ‘académie de beauté.

S : Que faisiez vous donc ? je vous ai appelé 4 fois et ....

J : ( coupant ) Excusez- moi monsieur, je m ‘ étais assoupi, ne m ‘étant couché qu ‘ a 3 heures cette nuit.

S : 3 heures, vous faites la mou à présent Justin ?
 
J : Non monsieur, c ‘est madame...

S : Qu ‘ est - ce à dire ! vous prenez des liberté de langage qui ne me conviennent guère

J : Je disait que madame a bridgé jusqu ‘ à cette heure tardive.
 

S : ( en colère) On pourrait dire matinale ( à part ) ah cette Alphonsine ! Bon à rien, et on vous a laisser rester jusqu ‘ au bout ?

J : Monsieur sait que je fais des délicieusement les cocktails et whisky soda et j ‘en ai préparer de 9 heures du soir à 3 heures du matin. 

S : Esquinte toi Tardize ! à passer jour et nuit dans ton laboratoire, a créer cette machine ( il la montre ) qui révolutionne l ‘univers, à courir les académies, les journaux, etc...... Pour acquérir gloire et fortune..... Pendant ce temps, sous ton toit, c ‘est ... au fait qui était là hier soir ?

J : Mr Belon, le maroquinier, Pierre, le garçon du friseur à madame ainsi que Louis, son masseurs, il y ‘ avait également 2 personnes dont j ‘ignore le nom mais que l ‘on m ‘a désigné sous le nom de la vache .

S : Hein ! la vache !

J : Oui et l ‘autre la terreurs.

S : Eh bien, je verrais cela à mon retour ! je vais être en retard, quelle heure voyions prés de 3 heures, ouïe ( en s ‘habillant ) et c ‘est tout, Justin !

J : A une heure du matin il est venu ..

S : A une heure du matin, qui .

J : Le professeur de danse de madame, un jeune argentin, qui...

S : Merci, merci, cela me suffit, ah !.... garce ! 

J : Ils ont dansé d ‘ailleurs sans arrêt et madame à réclame a 3 heures moins le quart les soins du monsieur.

S : Je vous dispense de commentaire ! Passez - moi mon chapeau ! et préparez comme d ‘ habitude mon appareil les manettes impeccable, le levier rhéostat, toujours en bas et n ‘oubliez pas de loger le lapin cobaye dans sa cavité  ad - hoc

J : J’oubliai de dire à monsieur que madame a pris la voiture ? 

S : C ‘est charmant, pour aller où ? 

J : Madame ne me dis rien, mais j ‘ai entendu cette nuit Mr Belon qui parlait de demain à Bagatelle, alors ! ...

S : ( excédé ) Merci Justin, merci (colère) merci ! ( apaise) je prendrait un taxi ( il sort )

J : ( seul ) Pauvre vieux cornichon, et dire qu ‘il passe des nuit à travailler, à étudier pendant     qu’ Aphorisme, Fifine comme il l ‘appelle tous, fais une nouba carabinée.
Enfin moi je m ‘en fous.. la maison est bonne, pas trop de travail, des pourboire des clients de Monsieur et... de madame ? la considération dans le quartier où nous logions.

Ah ! ça ! c ‘est une chose que je ne puis digérer. Quelle idée, un savant dont le nom resplendit sur les journaux, qui va un jour décrocher la présidence de la république, ou autre fonction quasi aussi importante, ne pas prendre un appartement en ville où il fera ses consultation; non monsieur  se contente de ces 4 roulettes jeux tapissées et se déplace aussi avec chaque kermesse. Je sais que la récolte est des fois bonne sur la place publique mais ce sont surtout des clients des dehors qui viennent la trouvé alors pourquoi faire le romanichel. Pour moi, je suis obligé à chaque fois de changer de maîtresse et voler de la manière et voler de la manière à la fruitière, de la boulangère à la bouchère, .... Enfin ! cela a du bon ! 
Allons voyons cette machine, commencerons à l ‘astiquer . A  4 heures, séance journalière et   s ‘il n ‘ y a pas 30 clients par jour je veux être pendu. Commençons le nettoyage des fameuses manettes, voici les pendentifs téléphoniques on il branchent suivant les cas : tête, tronc jambes, biens, estomac, rate, cheveux, nombril, seins, oreilles, verges, coeur, matrice, grand rachidien, occiput, 5° vertébrés lointain grand sympathique, anus etc... C ‘est un véritable standards . Ah ! un petit coup de plumeau au directeur de moelle épinière, ici au cercle de feu pour les trépanations, le bracelet pour les ex - cambrioleurs qui veulent se guérir de leur malaise et également cette paire de bracelets pour les culs de jatte.. voyons .. qu ‘ est - ce que ce bouton. Voyons ! ( il appuie, coup de sifflet ) Ah ! oui pour les amener chefs de gare astiquons cet entonnoir, c ‘est le dernier essai pour les députés ! 
( il ouvre sur des cases de côté ) 
Que de poussières sur le siège du patient . Allons c ‘ est là que mon patron, le savant Tardize exécute ses miracles car s ‘en est en effet . J ‘ ai vu des choses extraordinaires et pour une fois les journaux ont raison dans leurs louanges. Il a dépensé toute sa fortune et donne sa vie pour trouver le remède mécano électron, radio, sufra, titanique, à toutes les maladies possibles et imaginables. Il a redonné des yeux, des dents et des cheveux, refait battre le coeur, et fonctionnent l ‘estomac, nettoyé les intestins et récurer les cerveaux, purgé les mâles dans leur absence de relation et constipé les femelles, eh oui ! rien qu ‘avec  cette instrument ; compliqué c ‘est certain, mais irremplaçable. Ah ! combien de fois ai - je mis là dernière dans cette case le farceur cobaye qui absorbe toute les malfaçons humaines que la machine supprime ( bel intermédiaire, au début, nous avions le véritable cobaye des modes, mais maintenant ...
Bibloeux, mes successivement mis : les chiens de Pomevanie, la Russie ne fait plus de livraison, des chats d ’ Iran, pauvres pays, pauvres chats, les écureuils, mais cela rendait mal, ils se laissaient  pincer la queue dans les engrenages et plusieurs réparations ont fait les abonnement et maintenant nous en sommes au lapins et plutôt aux lapines.
Cela me fait pitié de voir parés ces pauvres animaux, hier cette lapines est parties avec 4 oreilles et 3 yeux , avant hier on lui avait arraché les dents et il y a quelques jours, pour guérir une colique hépatique ce pauvre cobaye, lapine est sorti en laissant sur son passage des crottes comme qui dirait de Sénégalais.
Pauvre humanité bêtes et gus  le problèmes !
( on sonne il va ouvrir, une femmes entre, le plus chic habillé qu ‘il nous sera possible )

J : Ah ! c ‘est madame. 
Madame( sans se dérouter) voyons Justin 3 h 20 où est monsieur  ? 

J : Parti porter communication de ses recherches à son académie, madame.

M : Ah ! il y ‘ a longtemps, quand est - il parti ? 

J : Mettons 20 minutes, il doit rentrer pour ses consultation à 4 heures et je dois faire patienter les clients s ‘il arrive comme d ‘habitude en retard .

M : Bon, merci vous pouvez dit bonjour à Justin ? 

J : ( jetant un coup d ‘oeil à la machine)  pas fini, mais j ‘aurai tout le temps de mettre le cobaye au dernier moment . Qu ‘est - ce qu ‘ elle à encore, elle parait agitée. Quelle gueule de bois avec les cocktails d hier.

M : Vous apportez 2 cocktails, Europe, Justin ? 
J : Europe, quelle mélange compliqué. 2 ! madame ! vous m ‘invitez alors ?

M : (furieuse) Depuis quand vous permettez vous ? vous prenez beaucoup de fantaisies depuis quelque temps. Où est - il le pauvre Justin que j ‘ai ramené un soir de ....

J : ô madame je vous en prie .

M : Bon, mais sachez Justin qu ‘un serviteur dévoué doit savoir tout voir, tout entendre mais ne rien dire.

J : Madame peut compter sur moi ( il sort ) 
( madame va à la fenêtre et fait signe à quelqu ‘un de venir) elle s ‘impatiente, tape du pied, écoute derrière la porte, enfin on entend frapper discrètement, elle ouvre et voici ( homme  du Faubourg ). Elle lui saute au cou, l ‘embrasse, mais lui à l ‘air gêné.

M : Voyons chou tu connais pourtant la maison et tu as l ‘air tout dépaysé 

Amant ( Paulo ) Oui ! Fifine ! mais tu sais est ce peinant aujourd ‘hui  ? 

M : A h ! vraiment pour un dur tu as peur pareillement .

Paulo ( retrouve son aplomb ) Tu as fini d ‘ être grossier aussi Fifine. Allons viens voir ton homme et donne lui ta bouche .

M : ( provocante) Ma bouche , mes lèvres, tiens , prend tout, je te les donne.

P : Je n ‘aime pas l ‘aumône , prête les seulement que je te les reprennes demain. 

M : Tu deviens poétique comme mon mari .

P : Ah ! qu ‘est ce qu ‘il veut foutre encore celui la, tu va m ‘esgouder râleur, Fifine, j ‘sais que      t ‘est  marida , qu ‘il est conane de te laisser Quimper pour ces connes et ses inventions, mais   n ‘en jaspine plus, ça m ‘coupe les pattes.

M : Te fâche pas Paulo, ô attention ( il entre Justin avec les cocktails qu ‘il dépose sur la table)

J : Voila madame ( apercevant Paulo ) de mes hommages, monsieur ( à part en s ’ éloignant )
Eh bien ! la semaine dernière une secrétaire d ‘ambassade avec une roll royce et un chauffeur livreur et aujourd ‘hui une gouape de charonne, sûrement de ce soir là vraiment elle aime le chaudement Alphonsine .

P : j ‘espère qu ‘ t ‘ avais un larbin, il a une gueule de faux jetons, il est musclé au moins, j ‘aime pas tant de mecs dans mes affaire. 
 
M : Ne crains rien Paulo, c ‘est un brave type que j ‘ai sauvé autrefois de la misère et il ne se ferrait tuer pour moi et ne parle jamais . Al ... 

P : C ‘est bon alors, mais j ‘aurai l ‘oeil sur l ‘oiseau ! ( ils boivent les cocktails, elle déguste lui avalant la moitié du verre) Ah ça vaut pas un coup de rouge. 

M : Veux tu que je t ‘en fasse chercher. 

P : Manqu ‘ errait plus que ça. Crois tu que j ‘entrave rien aux manière de la haute, ( il la toise) on prend et on s ‘ tait .

M : ( câline) Dis Paulo ! m ‘aimes tu 

P : Bien oui, Fifine, sans cela je ne serai pas là à risquiez une balle de ton mari.

M : Tu vois c ‘est toi qui en parle .

P : C ‘est vrai, allons viens voir ton homme et que je te fasse voir comment  Paulo de Charonne fait l ‘ amour, le vrai ( une java dans la rue ) tais comme cela au son d ‘une java. Tiens c ‘est l ‘ au delà qui vous envoi colle toi à moi et je suis moi et ( fort) prends garde la môme .
( ils dansent une java ! ) mais au milieu apparaît Justin.

J : Vous m ‘avez demander madame ! ( à part ) si c ‘est il permis le laboratoire de monsieur en bal musette.

M : ( en colère) Non ! Justin vous rêvez !

P : Allons, trisse, canaque, mets les bouts en vitesse ( menaçant )

J : ( sortant ) Salaud ...
Et en terminant la java elle se pâme dans ses bras et il l ‘ emmène dans les décors. Quelques secondes, on sonne à la porte, Justin traverse la scène et se dirige vers la porte .

M : ( des coulisses) Demandez le nom avant d ‘ ouvrir et dite le moi ? 

Savant .. Justin, Justin, il dort encore ce cochon là.

M : Ciel mon mari, n ‘ouvrez pas Justin, partez j ‘ouvrirai moi même .

S : Je te flanquerai a la porte .

Paulo ( sortant en tombant à moitié déshabillé ) où me fourrer . Bon dieu, quel pétrin ! et je        m ‘fous d ‘dans . Cette machine , une porte: Crève ma vache, je me planque ... Pourvu que ça ne soit pas long ! ! 

M : ( un peu défraîchi sort ) et va ouvrir) Voilà mon chers voilà, ne t ‘impatiente pas. ( elle ouvre, il est furieux)

S : C ‘est honteux, c ‘est un scandale . ( elle la regarde en riant, il est désarmé) c ‘est pas gentil Alphonsine de mes faire attendre .

M : J ‘avais dit à Justin que je m ‘occuperai de la porte et au porte et au lieu de rester ici à lire comme d ‘habitude en t ‘ attendant je faisais un bien de regroupement  à ma chevelure.
Pour te plaire, mon chou .

S : Bon ça va  ( a part ) quel crampon, aujourd’hui ! je n ‘ai pas besoin d ‘elle , 3 heures 25 quelle passe .

M : Tu n ‘as pas l ‘air content as tu déjeuné, viens prendre une collation, les visite ne commencent que dans ½  heure.

S : N on merci, j ‘ai trop à faire ?  laisse moi seul veux - tu ? 

M : Goujat et il y a des gens qui trouvent qu ‘il y a mal de tromper de pareils imbéciles . 
Attends mon lascar ?

S : Ne sors tu pas aujourd ‘hui ? 

M : j ‘aurai quelque achats de lingerie mais tu sais je veux faire des économies.

S : Mais non Alphonsine, tiens voici un peu d ‘argent et ne te prives surtout de rien.

M : C ‘ est bien la première fois qu ‘il donne aussi facilement. Enfin prenons ( elle l ‘embrasse sur le front ) merci chou, je cour et je reviens te montrer mes achats. 

S : Ne te d ‘ epeche pas va, il fait beau aujourd ‘hui et marcher te ferrât du bien .

M : (à part) Merci pour le soin que tu prend de ma santé. Pourvu que je retrouve Paulo rue de Lappe m ‘a t il dit tu n ‘aura qu é à demander Paulo quelle popularité , au revoir, chou ( elle sort ).

S : Au revoir ouf ! enfin seul 3 h ½  voilà enfin que je vais voir arriver cette mignonne créature dont la voix si douce m ‘a charmé au téléphone. Voyons faisons un peu le devin. Son âge ? 25 ans peut être ô non ! pas si grave, l ‘intonation 22 ans oui c ‘st cela blonde avec des cheveux à ravir des yeux bleus des jambes blanches et une bouche, Ah ! je me sens rajeunir. Cour vole Alphonsine, à moi l ‘ amour, les.... ( on sonne ) ( il s ‘affole ) ( Justin arrive ). Ne vous déranger pas, j ‘ ouvrirai moi même et je n ‘ y suis plus pour les visiteurs. ( pendant qu ‘ il parle Paulo ouvre la porte et reprise par un bon coup ) Je crise dans ce cercueil, j ‘en ai marre ( il referme vite la porte ) 

S : Allons Roméo, voilà ta Juliette ( il ouvre et trouve devant lui un homme en habit noire) 

Ample chez Borriol, Pardon mille excuse, monsieur, je viens pour la mise en brève.

S : Monsieur, c ‘est a l ’ étage du dessus, je vous prie...
( il regarde tout deux de côtes le civil laisse passer une femme enceinte)

Femme : Est - ce ici le savant Tardize.

S : Lui même mais veuillez donc entrer madame ! au revoir ! l ‘ ordonnateur des pompes funèbres ( entrant derrière la dame) comme Juliette je suis servi un autres a déjà travaillé .
Vous désirez madame ? vous n ‘ aviez bien téléphoné ce matin et j ‘attend vos confidences.

F : Monsieur j ‘ai appris votre recommencer par la concierge qui était venu se faire soigner un chou aux fesse et j ‘ai penser que pour mon état ..

S : Oui, en un mot, je comprend que ça pourrai extirper le fruit de la poutre sur laquelle vous vous assise naguère.

F : ô monsieur il y a 5 mois seulement. 

S : Eh bien qu ‘est -cela va être avec 4 de plus . madame je regrette, je n ‘ai rien d ‘un praticiens d ‘officier et vous savez comme moi que le médecin défend de tels procédés.

F :( Implorant ) monsieur vous êtes mon dernier refuges. Mon mari est un être jaloux et terrible et quand il va rentrer de son voyage, ce va être un drame ! 

S : Madame vous n ‘êtes plus une enfant vous saviez ce que vous faisiez ? 
 
F : Il faut monsieur, voulez vous vous faire l ‘associer d ‘un crime ? 

S : J ‘ en ferait un en vous écoutant.

F : Monsieur je n ‘ai plus qu ‘un espoir, me suicider, j ‘ y vais puisque tout les hommes sont tous des goujats, je laisse 6 orphelins.
 
 

S : Voyons, ne vous fâchez pas, se suicider ! ( haussant les épaules) c ‘est atroce ce cas de consciences !  allons Tardize, tu es un savant  mais tu es un homme. Madame je cède, quoique c ‘est la première fois et j ‘ignore la réussite, je vous prierait de vous asseoir dans cette machine et de vous montre patiente dans la douleur comme vous le faites pour votre plaisir ( elle s ‘assoit dans la machine ) dont il refermes la porte) .

S : Voyons, voyons, en écrivant , Ah ! j ‘ y suis ( il manoeuvres les leviers ( cela fait un bruit de moteur qui se met en route) cela devient terrible, on entend la femme hurler maman ! maman ! 

S : Tu ne disais pas maman il y a 5 mois ... vais je réussir, je sens de la résistance ( le moteur ralentit ) je crois que ça y est ( sautant à la porte, la femme parait endormi, elle rêve... 

F : ( devant ) Ah cette seine, cette eau sale nauséabonde. Oh non ! mon dieu je n ‘aurai jamais le courage de sauter. Je pleure! Allons viens . Ô ce tramway, il arrive, 10 mètres, 5 mètres, 2 mètres, 1 mètres. Je suis happé oh ! ( cri strident) ( elle se réveille, passe la main à son front et regarde hébète Tardize et sort machinalement de la machine, soudain elle semble se souvenir, tâte son ventre dégonflé et au savant, merci, maître vous avez accomplie un miracle que je devrai malheureusement taire vous êtes un saint , docteur .

S : Voui, un saint cofusa, madame je vous prie de recevoir mes hommages en même temps que le chiffre de ma consultation, c ‘est ....

F : Attendez que je prenne une chaise .

S : 1000 francs

F : Ciel ( elle se dirige vers la porte)

D : Pardon, chère madame je ne puis faire crédit, étant toujours en domicile instable. 

F : Mais docteur n ‘ êtes vous pas suffisamment payé en ayant réussi votre expérience, un ange, vous avez fait sortir un ange d ‘une vierges n ‘est - ce pas déjà beau ( elle sort dignement ) .

D : (à plat) Une honte et quoi faire, c ‘est une habitude maintenant de ne plus payer et je ne puis appeler la police étant en exercice, comme il disent, illégal, Ah mais !  non ! la prochaine fois
j ‘ adopte pour la méthode forte, je rend les maladies extraites. Et quand je pense que je prend 30 minutes pour cette beauté. Allons nous lavez les mains ( pendant qu ‘il est partie, la porte du 2 eme cnpartiment s ‘ouvre et sort difficilement le ventre énorme, notre fameux Paulo.

Paulo: Quelle volée je viens de prendre, je n ‘y ai vu que des étoiles, on m ‘arrachait les cheveux, on me gonflait comme une saucisse, c ‘est une machine infernale. Oh mon dieu, le mari ( il rentre dans la machine et Tardize revient et aperçoit les 2 verres de cocktails a moitié vide ) Bizarre ! une réception dans mon laboratoire voyons qu ‘est ce que prenons ce verres; boisson , ni vin, ni bière, ni cidre, ni eau, de l ‘alcool ah oui ! et puis ces lèvres qui ont laisser l ‘ empreintes de Alphonsine ? mais l ‘autre voyons ! ( il sent) faire le serlock homes à présent : le tabac.. ça sent le tabac ordinaire, le gris oh voici un mégots, du gras sur ce verres. Justin ! Justin ! 

J : Qu ‘ a t il monsieur ? on a sonné .

M : Qu ‘ est ce cela 2 verres 1 est a madame, ne mentez pas je le sais mais l ‘autres ? Vous fumez Justin ? 

J : Oui monsieur la pipe . 

M : Ah ce n ’ est pas lui je préfère cela. Savez vous pour qui était cette boisson ! ( on sonne)

J :( content d ‘échapper ) j ‘ouvre monsieur ! .. Veuillez entrer monsieur le savant Tardize vous attendait ( vieux boiteux ) .

Boiteux : Mais je suis de passage et je n ‘ai pas prévenu.

J : Excusez moi monsieur je vous laisse avec le docteur. 

S : Voyons monsieur que désirez vous ?

B : Depuis mon enfance, je boite maître et j ‘en ai assez, j ‘ai manqué pour cela le mariages et sa dot et aussi n ‘étant pas soldat la joie d ‘être prisonnier lors de la guerre 39.45. Aussi je voudrais que vous me guérissiez ?

S : Savez vous monsieur le prix de la visite.

B : ( de haut ) monsieur je sais quand je fait faire quelque chose que je peux payer. D ’ ailleurs je paye d ‘avance.

S : ( hésitant ) non ! ce n ‘est pas la peine vraiment ? 

B : Bon alors a la fin . 

S : N de D ... pourquoi ne pas avoir dit oui ! c ‘était assuré ! pour le moins : enfin ! monsieur veuillez passez dans mon appareil, cette fameuse machine ou si j ‘ai tout fait pour sa réalisation, elle me donne de sérieuses consolations. ( le client va dans la machine) et le savant a ses manettes) rebruit de moteur, hurlement du patient , coup de pieds dans la porte) 

S : ( ouvrant la porte) Et voila monsieur, les jambes c ‘est ma spécialité, veuillez marcher maintenant et constater le miracle, je suis certain du résultat.

B : ( marchant ) c ‘est le plus beau jour de ma vie et je vous doit la vie .

S : Et également 1000 francs monsieur c ‘est un prix forfaitaire

B : 1000 francs ( voici monsieur  et j ‘en ajoute un deuxième car je n ‘aime pas les faveurs et ma guérison vaut bien cela ? 

S : Je suis confus. Enfin .. il paie la dernière ! monsieur je vous accompagne au seuil de la porte. ( pendant qu ‘ il sont ensemble sur le palier on les entend d ‘ailleurs ) 

P : ( ouvre la porte et arrive en boitant toujours avec son ventre gonflé ) 
j ‘ ai cru qu ‘il me foutait en l ‘air les gambilles, c ‘est pas buzelf si je remets les pattes ici .
Ah ! Fifine je te réserve une correction, ça t ‘apprendra d ‘avoir un dingo pareil comme mari. Allons je rentres dans la prison, que v ‘ a t il arriver cette fois ? 

S : Ah ! de la belle ouvrage 2000 francs. C ‘est la première fois que je suis aussi comblé, dommage qu ‘il n ‘avait qu ‘une jambe d ‘abîmée il aurait sûrement doublé. On sonne ( Justin va ouvrir ) pendant que le savant écrit à sa table.

J : Entrez monsieur, le savant est a vous dans quelque instants.

Bègue : Mer.. mer .. mer ci mon.. sieur ( Justin s ‘en va ) 

S : Voici monsieur une minute je suis à vous .

B : Prenez votre temps m .... sieur ? je ne suis, suis, suis, pas pressé.

S : En voici ! qu ‘ y a t ‘ il pour votre service.

B : J ‘ suis venu nu nu pour me faire con... con... consulter et en.. en.. en lever mon bég .. bég ..bégaiement.

S : Facile monsieur cette manette dans 5 minutes vous aura dé..dé.. délivré. Allons à mon tour je bégaie mais oui avez vous mon adresse actuelle ?

B : Votre ré.. ré ..réclame dans les ver..per.. verpertiomes:

S : Ah oui ! merci encore une idée d ‘Alphonsine.

B : ( entrant dans l ‘appareil ) y ‘a dan.. dan.. danger.

S : Mais non, allons je boucle la porte ? ( toujours mécanique et il sort alors en vitesse).

B : Ah. Monsieur c ‘est miraculeux je suis guéri et je vais pouvoir réaliser mon rêve.

S : Et  lequel ? 

B : Etre député. 

S : Ah si j ‘avais su il aurait mieux valu le rendre muet .

B : Cela fait monsieur .

S : 1000 francs comme pour toute opérations.

B : Trop cher, la moitié ca va ? 

S : Mais monsieur pour qui me prenez vous ? 

B : Pour un charlatan ! vous savez que la faculté vous recherche pour exercice illégal, alors 500 francs ou rien ( il tend 500 gueule savant prend).

P : C ‘est malheureux faites la charité, vous en êtes récompensé. Au revoir bondit.

B : A ne plus vous revoir, charlatan ! 

S : Salaud.

B : Voyou . ( il sort dignement ) 

S : Honteux ! eh oui ! c ‘est cela je guéris ce que la médecine ordinaire ne peut et je suis l ‘ objet de poursuites et un jour la prison qui sait... plus peut - être ? ( on sonne, il ouvre lui même ) Justin ne fait qu ‘apparaître et quand il voit le docteur ouvrant , il s ‘ en retourne de suite)

Manchot : Pardon monsieur, êtes vous le savant Tardize ? 

S : Oui monsieur, entrez donc, qu ‘y a t - il pour votre service. 

M : J ‘ ai entendu parler de vous, de vos succès à tout promit de vue et je suis venu à tout hasard voir si je pourrais retrouver mon bras à la place de cette manche vide.. vous devez savoir la cruauté du sort d ‘être priver d ‘un bras, du bras droit de plus et..

S : Mais oui ! monsieur, ici j ‘ai soigné tant d ‘infortune et les agent guerriers toute j ‘ai pu juger     d ‘après le contentement du malade après l ‘opération, combien son infirmité était grave. Allons ! entrez de suite dans la salle d ‘opération, c ‘est très exiguë, c ‘est vrai, mais ici c ‘est la salle des miracles, vous tiendrez bon cette manette du bas valide et prendrez courage, le bras va vous repoussez centimètres par centimètres, d ‘ ailleurs j ‘ai ici le témoin, vous mettrez votre moignon sur cette lunette que votre nouveau bras puisse s ‘étendre à l ‘intérieur à l ‘horizontale c ‘est nécessaire ( dans le panneau des manettes découper un nouveau cela permettra en outre du souffleurs.. 

M : Mais savant, vous avez donc tant que cela confiance.

S : Ici monsieur c ‘est comme à Lourdes, si vous n ‘avez pas la foi, inutile de venir, les membres c ‘est ma spécialité et j ‘ai toujours réussi à remplacer un membre manquant à rendre viril un membre impuissant aussi qu ‘a les redresser, j ‘ai réussi à remettre en place le pied droit de devant du centaine de la 5 ° phalange du 389 ° orteil du mille pattes. Jugez monsieur ! un point   c ‘est tout ? 

M : Monsieur je ne donne tant à vous .

S : A la votre, avec cela je ne suis pas fauché ? Du courage monsieur, l ‘opération commence, vous allez bientôt sentir votre membre s ’ allonger ( remachinerie habituelle) 
( le bras s ‘ allonge petit à petit et le client fait remuer les doigts, à pandeur normale arrêt et sortie du bras puis..)

S : ( ouvrant la porte) Est - ce réussi ? Je vous l ‘ avais bien dit.

M : C ‘est inimaginable, je me sens tout drôle, je ne sais quoi faire de mon bras, on dirait qu ’ il me gêne, enfin je m ‘y habituerai . Quels sont vos honoraire, monsieur.

S : 1500 francs. Monsieur ( à part ca je rattraperait les 500 francs du bègue)

S : Qu ‘ à cela ne tienne ! voilà monsieur ! entre honnêtes gens il faut bien s ‘aider.

M : ( a part ) honnêtes . tu diras pas cela tout à l ‘ heure en présentant ton chèque à                      l ‘ encaissement . Merci monsieur et au plaisir ( il se cogna à la porte ) N et D. 
Je vous le disais bien que ce bras va me gêner.

S : Jamais content, que dirait - il s ‘ il était le bouddha aux 8 bras.
( il revient ) Allons prendre une collation avant le prochain supplice et éclaircir ce mystère des 2 verres d ‘ alcool. ( il crie ) Justin ! .... ( et sort ) 

Paulo : ( sortant un bras en moins ) c ‘ est mon ca.. ca ..calvaire, vivement que la tète soit fou..fou.. foutue en l ‘air et alors je ne gueulerai .. rai ..plus. Ah si l ‘on me bi..bi..biglait à la bastos .. to..tonche donc c ‘était là, je me ferais fout..fout.. fout on devras tirelire. Comment faire partir ! je ne puis rester ain..ain..ainsi aussi et il n ‘ y a que celui ce gre..gre..grevin, cet idiot qui qui qui puisse me sortir de là. Ah ! une idée ! En faisant ..sant..sant gaffe, si j ‘essayais de mettre cela ..la..la en branche. ( il s ‘installe aux manettes ) et n ‘entent venir Toto et son père, la porte étant rester ouverte au départ du derniers client ) . 

Toto : Crois tu papa qu ‘il va être là le charlatan.

Père : Dis pas ce nom là Toto, ici, dis le savant.

T : Ah ! tout ce qui finit en ant ... méchant, frappant, mentant, c ‘est comme pour quoi je suis venu ici, j ‘ suis trop grand !

Papa : ( à Paulo ) c ‘ est vous monsieur qui ? 

Paulo : ( levant les bras ) j ‘ suis fait.
Toto : Il fait des incantations comme le fakir.

Papa : Laissons le tranquille , il parle avec les esprits.

Paulo : ( se reversant ) Allez démer ..mer..merde toi, je suis .....puis frit, crédible ou pas..pas..passer un quart de plombe ici ..ci..ci , appelle les rou..rou..roussins

Toto : Qu ’ est qu ‘il dit ?

Paulo : ( se retournant d ‘un bond ) Je...

Papa : Nous venons pour une petite opération.

Paulo : c ‘ a y ‘est  une descente de po..po..police

Papa : Afin que vous rapetissez.

Paulo : (se tenant la gorge ) La guillotine.

Toto : Il est bizarre le savant, mais on dit qu ‘il sont tous fous, alors ? 

Papa : Que vous rapetissiez mon petit que voici ( il montre Toto ) 

Paulo : Ouf .. d ‘accord, inutile d ‘attendre et pas de palabres ni de jactance, que le gosse se foute dans la machine ( il fit le geste et Toto va s ‘ asseoir ) 

Toto : On dirait le confessionnal de l ‘ église.

Paulo : oui mais ici tu ne l ‘ouvriras..ras..ras pas ? tu entends ? 

Toto : Oui savant ( il s ‘ assoie gentiment ) 

Paulo : J ‘ aime mieux cela que la nou..nou..noupétance. Allons faisons vite, qu ‘il qu ’ il foutent le camps aussi sisitôt . 

Papa : c ‘est combien l ‘opération monsieur.

Paulo : J ‘ sais pas combien y prend, su ..su..surement comme le tou..tou..toubib qui fait les piqûres à la gosse to..to..toche, un louis ( au papa ) 1 louis monsieur.

Papa : Vous dites ? 

Paulo : Ah oui tu..tu..tu n ‘entraves que dalle. 4 tunes au fait cela fait com..com..combien 4 fois 
5 = 20, 20 francs .

Papa : C ‘est un peu cher, mais enfin il y ‘aura un peu moins de chocolat cette semaine ( Paulo manoeuvre à droite et à gauche, et arrive à mettre en marche ) voila..le...le..le..dab , dans 5 bro...bro quelles ton liaison aura la dimen..mens..sion  régule, en attendant assiste toi et prend prend un baveur ah oui un journal comme on dit ( le père lit ) on entend des pas le docteur accourt )

Paulo : N de D v ‘ la le croquignole qui ..qui..qui rapplique, j ‘ me refous dans la caisse.

Savant : On ai je mis la tête j ‘ai oublié d ‘arrêter le moteur. Je veux tuer mon cobaye et au prix où il est ( apercevant le papa ) il ne se gène guère celui la et par où est il entrer ) enfin .... c ‘est votre tour monsieur.

Papa : Qui est encore celui la ? a mon tour de quoi ? 

S : De passer à la machine, je suppose que vous n ‘êtes pas venu ici pour lire toute la journée.

Papa : Croyez vous que c ‘est utile .

S : Cela dépend de ce que vous vous plaignez.

Toto : Papa, papa, ouvre la porte j ‘étouffe .

S : Qu ‘est ce que c ‘est ( le père ouvre la porte, Toto sort ou plutôt le nouveau Toto et c ‘est houffin ) même costume que Toto ) .

Papa : Ah mon dieu qu ‘est il arrivé. Ou est le sacripant qui a fait cela ?

Toto : C ‘est drôle papa tu as grandi.

Savant : Monsieur expliquez moi ! comment vous avez violer mon domicile, profite de mon absence pour endommager mon appareil et laisser votre garçon s ‘amuser avec !

Papa : c’est a vous de m ‘expliquer comment le monsieur qui était la tout a l ‘heure a rendus mon fils avec moins de 30 cm de moins et c ‘ était convenu de 10 cm maximum c ‘est abominable, où est il ce gredin ! .. vous le cacher n ‘est ce pas . monsieur je vais faire un malheur, je veux tout casser ici si je ne le retrouve pas.

Savant : un fou, un fou, il a vu quelqu ‘ un ici, il voit son fils rapetissé, d ‘ailleurs c ‘est une famille de fous, le fils voit son père grandir. Cas ordinaire, folie douce qui subitement devient dangereux il serait prudent qu ‘il s ‘en aillent.

Papa : Vous n ‘aurez vos 20 francs monsieur que lorsque mon fils redeviendras comme avant .

S : quels 20 francs ?

Papa : votre consultation ? 20 francs une honte d ‘escroquer des gens pareillement .

S : 20 francs ! il est plus fou que je le pensais.

Toto : Papa pourquoi mon cerveau a grandi.

S : ( pauvre famille( il va à son bureau et téléphone). Allô ici Mr Tardize foire du trône, devant  les vespasienne à côté du marchant de frite, vous êtes bien......, bon c ‘ est cela ...... pas urgent ......important apporter instruments.. ( il raccroche ) .
5 minutes à le faire patienter et en avant pour le cabanon.

Toto : On s ‘ en va papa.

Papa : Un moment Toto, j ‘ai des comptes à régler avec cette brute là.

Savant : C ‘ est cela la folie de la persécution.

Toto : J ‘ étouffais tu sais dans la machine, si tu m ‘avais pas ouvert je serais mort ? 

Papa : Pauvre petit ange, confier cela à des charlatans pareil, je .... ( on frappe ) le savant va ouvrir et 2 bonhommes arrivent qui se précipitent sur le père et l ‘emmène violemment après lui avoir enveloppé la tête et le gosse est conduit à la main.

Toto : ô papa c ‘ est carnaval .
Papa : Saligaud, je parlerai au président de ......

Un des employer : Mais toi oui je te fous dans la série, tu t ‘en sortiras moins bien qu ‘ avec la bonne douche qui t ‘attends ( ils sortent )

Savant : Enfin débarrassé de tout ce monde encombrant, c ‘est pénible de voir de pareilles choses. Et cette pauvre machine n ‘ y ‘ a t ‘ il rien de cassé ( il vérifie les mécanismes ) qu ‘est ce le lapin qui ronfle à présent, voyons ouvrons doucement ( on aperçoit Paulo qui ronfle mais se réveille et se précipite à l ‘intérieur en sortant un grand couteau de cuisine.

Savant : Encore un membre de la famille des fous, pardon !! vos amis viennent de sortir.

Paulo : Mes..mes..mes amis je vais t ‘en foutre  canailles au point ou j ‘en suis suis je ris..ris..risque le tout pour le tout ( il s ‘approche couteau levée ) 

Savant : Mais voyons du calme ( à part ) que faire  mon dieu c ‘est la folie furieuse et si j ‘appelle il frappera ) voyons de la douceur ( doux ) vous êtes en colère ? 

Paulo : Ta, ta, ta le cu..cu..culot de demander cela ? 

Savant : asseyez vous là .

Paulo : Pas..pas..de discours, viens à ta machine ma chi..chi..chine et écou..cou..cou te moi ?
tu vas m ‘ ôté tout cela mon bé..bég..bégaiment, mon bras droit et ma patte et me dé..dé..dégonfles. Je passe dans l ‘ a ...la la pareil et si tu bou..bouges je te pique. ( il passe dans l ‘appareil et sort son bras armée du grand couteau ) allons commence tes    o..o..opération ? Et atten..tten..tion .

Savant : ( fermant une manettes ).. Ah ! mon lascar à nous deux, maintenant, tu ne peux plus bouger maintenant pas même ouvrir ta main à mon tour ? que ferais tu ici ? tu te tais, attends ( il manoeuvre et Paulo hurle ) tu vois, dis moi tout sans cela je te réduis en cendre.

Paulo : c ‘est de la faute à Fi..Fi..Fifine.

Savant : qu ‘elle Fifine ?

Paulo : la tienne, ta femme.

Savant : qu ‘ est ce que Alphonsine vient faire dans tout cela, il est aussi fou que ses amis. Pourquoi n ‘ est tu pas partie avec tes parents ? 

Paulo : Mes parents, je les ai..ja..ja..jamais comm..mme.

Savant : Comment alors est tu entré ici, ah mais j ‘ y pense, tu as fait le cobaye a la place du lapin, mon lascar et tu as pris la grossesse de ma cliente de 3h ½ mais alors ! depuis quand était tu là ? tu ne dis rien ! attends la décharge électrique.

Paulo : Holà, holà, pi..pi...pitié. depuis cette heure là ?

Savant : Ah je commence à comprendre : le verres d ‘alcool, le mégot, ah ! mon salaud, tu as bue avec Alphonsine ? 

Paulo : Vous entrav,rav,ravé tout maintenant ? 

Savant : Et tu étais venu voir ma femme ( furieux ) c ‘est ta maîtresse, n ‘est ce pas ? ( on sonne mais il ne se dérange pas, on résonne nerveusement ) furieux il va ouvrir et repart aussitôt après avoir fait entrer madame, le savant cache le bras armé de Paulo ! 
Madame : c ‘ est bien long pour ouvrir, que de mystère, peut être te faisais tu une consultation ? 

Savant : ( furieux ) oui avec cela ( il remontre le couteau ) 

Madame : Ah mon dieu qu ‘ est ce ? 

Savant : Ton amant.

Madame : ( rapide ) lequel ? 

Savant : celui que tu voudras, une gouapes en tout cas .                                                                 ( Paulo appela, Fifine, Fifine sauve moi ) 

Madame : O Paulo, voilà pourquoi il n ‘était pas rue de lappes où j ‘ai fait le pied de guerre moi qui ne savait pas qu ‘il était en danger ici ? 

Savant : ( ouvrant la porte ) regarde ton lascar, ton Don Juan ! mais n ‘ y touche pas il est électrocuté et tu deviendras de même. Regarde cette beauté, cette taille de guêpe, son bras élégant, sa jambe mondaine et puis entend le allons parle brigand ! 

M : Non ne parle pas Paulo, pauvre martyr ! 

P: oui pau..pau..pauvre martyr .

M : O mon dieu il bégaie. Voyons tu ne vas laisser ce garçon dans cet état ?

S : C ‘est cela protège le ? tu mérites son sort ?

M : Pardonne moi mon chou .

S : Plus de gros chou ici , à présent que je sais tout . Ah ! les soirée de bridge, les cocktails à 2, les attentes derrière la porte, les promenades à bagatelle . 

Paulo : à Ba..ga telle que fou fou tais tu , Fifine là bas ? 

S : ( envoyant une décharge ) riens, continue ! je suis a ton service .

M : écoute mon chou ( elle le prend par le cou ) pardonne moi j ‘ai été  méchantes à ton égards et si je te le l ‘ai paru, ces certain que je ne t ‘ai pas trompé, j ‘avais pris ce garçon en amitié parce qu ‘ il était sans travail et vois tu il n ‘ y a pas eu  d ’ autre mal que de boire ensemble pour lui donner la force d ‘ aller au bureau de placement ? 

P : C ‘ est .. ça.

M : Je t ‘aime trop, gros loup, pour te faire de la peine, et de te voir aussi méchant . je sens que je vais pleurer .

S : non ! ne pleure pas Fifine ! 

M : O tu m ‘ as appelé ainsi. Fifine, c ‘est trop gentil de ta part, je vais en mourir de honte, je sens que je vais me trouver mal ? 

S : Non, pas encore Alphonsine, je ne puis quitter les manettes.

M : ( reprenant du poids ) allons pardonne tout cela et rend  la liberté à ce pauvre garçon qui a eu le tort, peut être de trop m ‘aimer ! cela prouve que je suis belle et du dois être fier de m ‘avoir .

S : Allons  puisqu ‘il me faut choisir. Lui où elle, je préfère encore le garder et toi , mon lascar, je vais te guérir, mais tu vas promettre que jamais plus tu la reverras ? 

P : Je le jure...ah non j ‘ fout foute fouterai plus les pattes à cô..cô..côte d ‘elle ? 

M : Rappelle toi Paulo que tu ne dois la vie. 

S : ( fermant la porte ) Allons ! en route ( mécanisme ) la main droite s ‘agite et laisse tomber le couteau ) Ah ! le voilà revivifie et maintenant dégrossir et puis la jambe qui refonctionne.
Normalement  et son bras repousse, c ‘est fini !

M : ( anxieuse ) j ‘ puis ouvrir ? 

S : Pas encore une dernière formalité. Afin de vous rappeler cette histoire, je vous impressionne contre toutes vos mauvaises paroles, je veux faire oeuvre de charité. Et vous rendre doux , bon et surtout poli, à parler de maintenant vous ne devez plus. Dise de mots d ‘argot sans cela votre langue se luiesa pour toujours, voilà c ‘est fait madame, laissez sortir le nouvel homme.

P : Madame mes respects, monsieur, je n ‘oublierais jamais l ‘amabilité dont vous avez comblé mon humble personne. J ‘aurai la perspicacité de laisser mon cerveau errer sur les speres intellectuelles pour y venir glamer la palme de reconnaissance que je doit à ce savant unique que la destiner a placée devant mes humbles pas, madame, je vous salue, monsieur mes respects ( il sont moins qu ‘auparavant ) 

M : c ‘est beau, c ‘est sublime ce que tu as fait là, ensuite ? 

S : C ‘est pour l ‘humanité j ‘ai ramener une brebis à son pasteur, souvenez vous bien mon garçon aucun mot d ‘argot , malhonnête ou déplacé. A ne plus vous revoir ? 

Paulo : ( franchement la porte et d’une voix forte ) se cognat à la porte ) 
 

   ô  M..........
 
 

    RIDEAU